Le Dakar, ses 9000 km, ses départs matinaux à des heures pas possibles, ses étapes marathons. C’est sûr, faut une moto qui roule...
Poids plume et regard de braise
La libellule avant l’envol
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250 cm3, c’est sûr, faut aimer souffrir.
Mais les challenges difficiles, j’aime bien.
Et puis ça me renvoie un peu des images de la grande époque du Dakar ou des barjots partaient en scooter, en 2CV et autres véhicules exotiques.
Plus près et plus réaliste, mes potes Hervé Mons et Fred Dabert se sont alignés sur des 250 eux aussi et plutôt avec succès.
Pareil pour Pat Meynier, mais là c’est la moto qui partait avec un handicap, pas le pilote ! (allez vieux pote, je rigole...)
Alors Inch’Allah (même si ça n’aura pas lieu en Afrique !), on va tout préparer pour aller au bout et si ça marche, c’est super.
Mon Dakar ne va peut-être pas durer longtemps… Mais peut-être pas !
Qui sait ?
On a bien vu, il n’y a pas si longtemps, des motos oranges abandonner lors des premières étapes pour des batteries qui claquaient.
De plus la mob est super, l’équipe est hyper motivée et conviviale, vraiment un environnement boostant.
Last but not least, j’ai un gabarit d’athlète (58 kg !) qui me permet de bénéficier d’un rapport poids/puissance pas si ridicule.
Faut bien que ça serve un jour de raser les mottes !
Le tort, ç’aurait été de ne pas essayer.
P’tite Fourche