/BOUCLE_traductions>
Parcours modifié du fait de bandits armés jusqu’aux dents et
recherchant des riches à trousser et à détrousser. Ainsi, le GARENNE ne verra pas Tombouctou cette année et devra attendre deux jours pour voir le Mali. Pas sur d’ailleurs que ceci soit au centre de ses préoccupations du moment.
Seulement quelques dunes aujourd’hui, mais surtout des pistes de sable où les ornières se creusent comme nulle part : en voiture, on y est ballotté d’un côté à l’autre comme dans une machine à laver. En moto, il faut avoir les yeux en face des trous à cause des menhirs cachés dans le sable, et d’autre part les mains bien accrochées au guidon qui ne fait que donner des grands coups tantôt à droite, tantôt à gauche. La théorie, celle qu’on lit dans les articles de
MOTO VERTE, la voici résumée : "en arrière de la selle, le cul sur le garde boue arrière, les pieds bien callés, et du gaz pour absolument garder de la vitesse. Garder de la vitesse, c’est impératif". Sauf que qu’en tu fais le DAKAR, même si tu t’appelles GARENNE, des fois t’en as un peu plein les bottes, t’es mort raide défonce et tu n’aspires qu’à une chose : du roulant.
Question roulage c’est toujours aussi bien, à l’issue des 360 Km de spéciale,
le GARENNE fait 34 au scratch et se classe 39ième au général.
Stéphane CLAIR, deuxième cavalier
EASYDENTIC / INNOVATYS, numéro 113, casaque rouge et
121ième au scratch. Pour lui aussi, le plus dur a des chances d’être derrière. Le beau brun mérite une ovation : il a passé quelques heures sur la pétoire pour sortir des spéciales. ça a payé, bravo !
Demain, l’ami CASTERA accorde une sorte de répit. Tous se rendent à Ayoun en Atrous par la route, en liaison pour 300 bornes.
Nous vous le disions hier, le FEUILLADE s’en est mis une très très grosse. Vu qu’il était comme qui dirait un peu secoué, ça a du taper vraiment fort. Pour détendre l’atmosphère, voici un souvenir d’un enduro à Langogne. Certains s’en souviennent,
AMIS avait fait du grand spectacle, la meule du GROUIK crachait le feu !
et le garenne cherchait l’entrée de son terrier au fonds du moulard